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François Cluzet - Page 2

  • Les petits mouchoirs

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    Chaque année, toute une bande de potes d'enfance se retrouvent chez Max (François Cluzet) pour passer des vacances ensemble mais un drame est venu bouleversé leurs habitudes. Ludo (Jean Dujardin) a eu un grave accident de la route et est sérieusement touché mais les médecins sont optimistes. La bande hésite alors à partir en vacances et finalement ils décident qu'ils n'y resteront que 2 semaines, le temps que Ludo puisse reprendre des forces. C'est l'occasion pour tout le monde de se détendre même si Antoine (Laurent Lafitte) reste accroché à son portable, Marie (Marion Cotillard) parait anxieuse et qu'il y a comme une certaine tension entre Max & Vincent (Benoit Magimel).

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    Ce n'est pas peu dire qu'il s'agit là d'un des évènements cinématographiques de l'année et on ne s'y est pas tromper ; Guillaume Canet signe là le plus beau film de sa jeune carrière de réalisateur. On ne peut pas rester insensible devant Les petits mouchoirs, d'abord parce que son histoire est universelle mais surtout parce qu'elle est tellement authentique qu'elle trouve forcément un écho en chacun de nous. Et puis que dire de ce casting 5 étoiles ; on rit énormément (en grande partie grâce aux tribulations de François Cluzet) en compagnie de cette bande mais les larmes seront également de mises lors d'un dénouement émouvant. Même si l'on peut déplorer quelques défauts comme ce prologue choc mais qui coupe un peu les ailes au départ du film, ça mérite largement le Coup de cœur Ciné2909 !

     

    Il faut le voir pour : Parler avec votre riz avant de le cuisiner !

  • A l'origine

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    Philippe Miller (François Cluzet) vit de petites combines ; il vole tout ce qui peut se revendre faisant parfois preuve d'un aplomb extraordinaire. Evidemment avec toutes ces arnaques, il est obligé de se déplacer continuellement et c'est ainsi qu'il atterrit dans cette petite commune. Il se fait passer pour un représentant de la compagnie CGI qui gère la construction de routes et très vite il se rend compte qu'il est accueilli comme un messie. Il y a 2 ans, les travaux pour l'autoroute avait été abandonnés du jour au lendemain ce qui a porté un coup fatal à l'économie de la région où l'on compte plus de 25 % de chômage. La présence de Philippe est donc synonyme de reprise des travaux et chacun se met à reprendre espoir.

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    Inspiré d'un réel fait divers qui aurait fait les beaux jours de Sans aucun doute, A l'origine s'intéresse donc à l'histoire d'un homme qui finit par confondre les frontières du réel et de son imaginaire. Impossible de ne pas être admiratif devant l'audace du personnage mentant sans vergognes à qui veut bien l'entendre mais qui finit par se laisser toucher par la volonté de toute une commune de relancer son activité économique. A noter une belle distribution avec un François Cluzet stupéfiant et accompagné de 2 visages qu'on souhaiterait voir plus souvent : Stéphanie Sokolinski (Dans les cordes) & Vincent Rottiers (Je suis heureux que ma mère soit vivante). Entrainant voilà un excellent film.

     

    Il faut le voir pour : Construire un bout d'autoroute près de chez vous.

     

  • Le dernier pour la route

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    Le matin se lève à peine pour notre pote Hervé (François Cluzet) et il a déjà besoin de son verre de vin blanc pour attaquer la journée. Plus tard, il descend quelques bières histoire de tenir le coup car c’est un jour spécial ; il entre en cure afin de combattre son addiction. Hervé est alcoolique. C’est ainsi qu’il est venu passer quelques semaines dans cet institut spécialisé car sa famille ne supportait plus la vie qu’il lui faisait mener. Dans un premier temps, il a refusé de voir la vérité en face mais il a bien fallu qu’il se rende à l’évidence que son comportement a eu des effets dévastateurs sur sa femme et son fils. Il doit changer.

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    En adaptant le roman autobiographique d’Hervé Chabalier, le réalisateur Philippe Godeau s’attaque à au sujet délicat de l’alcoolisme et ses dérives perverses. Le dernier pour la route n’a pas la prétention de nous sensibiliser sur les effets dévastateurs de l’alcool mais plutôt à mieux nous faire comprendre la détresse dans laquelle se retrouvent plongés les victimes comme Hervé. A coups de flashbacks, on découvre le calvaire du personnage mais l’histoire générale reste d’une grande monotonie et en tant que spectateur on trouve le temps long. À défaut de nous dégouter de l’alcool, le film donne plutôt envie d’aller se chercher une petite bière pour supporter tout ça !



    Il faut le voir pour : Apprendre qu’un film peut aussi vous saouler.

  • Les liens du sang

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    Déjà pendant son adolescence, notre pote Gabriel (François Cluzet) s’introduisait par effraction dans les maisons. Pas étonnant que quelques dizaines d’années plus tard on le retrouve flanqué en prison après avoir été reconnu coupable d’un homicide volontaire. Un sujet délicat dans sa famille d’autant plus que son jeune frère François (Guillaume Canet) est devenu policier. Pour l’heure, les tracas resteront de coté car Gabriel a droit à une perm’ et s’il réussit à trouver du boulot, il pourrait même retrouver sa liberté. Après avoir fêté dignement ses retrouvailles, il reprend le cours d’une vie ordinaire mais peu à peu ses vieux démons ressurgissent.

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    2 frères, 2 destins tragiquement opposés. Adaptation de la biographie Deux frères flic et truand des frères Papet ; pour apprécier Les liens du sang, il faut déjà aimer l’ambiance des années 1970-80. Une époque qui marque le début du grand banditisme français avec notamment l’évocation discrète de l’affaire Mesrine (bientôt au cinéma) et dans un contexte où les médias se régalent de ce genre de fait-divers. Après l’énorme succès de Ne le dis à personne, Canet & Cluzet se retrouvent cette fois devant les caméras pour un policier assez banal. Pas le film du moment mais ça se laisse voir.

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais piquer la femme d’un prisonnier.

  • Détrompez-vous

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    Cela fait bientôt 6 mois que Lisa & Thomas (Mathilde Seigner & Roschdy Zem) se voient secrètement sans éveiller le moindre soupçon au sein leur couple respectif. Oui mais la roue finit toujours par tourner et lorsque Carole (Alice Taglioni) va consulter un nouveau  gynécologue, elle tombe sur Lionel (François Cluzet), mari de Lisa et tous deux finissent par découvrir la triste vérité. Dans un premier temps anéantis par la nouvelle, ils décident alors de réagir ! Pour sauver leur mariage, il ne leur reste qu’une chose à faire ; mettre fin à leur relation et ce par tous les moyens inimaginables.

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    On ne peut pas dire que je sois très concerné par les problèmes de couples aussi Détrompez-vous n’était pas le film susceptible de me plaire mais c’était finalement plaisant. Certains diront qu’il s’agit encore une fois d’une comédie française comme tant d’autres et c’est vrai qu’il n’apporte rien d’original hormis un bon moment de détente. On aurait apprécié que le réalisateur fasse durer un peu plus le plaisir du sabotage orchestré par les époux trompés, véritable délectation aussi bien pour eux que pour le spectateur. Après Le cœur des hommes 2, on se dit une fois de plus que la fidélité dans le mariage va finir par devenir un mythe !

     

    Il faut le voir pour : Se méfier des séminaires de votre compagnon.

  • Ma place au soleil

     

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    Rien ne va plus chez Odile & Gérard (Nicole Garcia & Jacques Dutronc) ; ce couple passe ses journées à s’ignorer mutuellement. De plus, Gérard a coupé les ponts avec son fils et c’est Odile qui doit leur servir d’intermédiaire ; elle qui a tant besoin d’attention et d’amour ! Dans leur entourage, gravitent d’autres couples comme Sandra & Paul (Valeria Golino & François Cluzet) qui traversent eux aussi une période difficile. Sans oublier Franck (Gilles Lellouche), célibataire malgré lui et faisant preuve d’une maladresse légendaire.

     

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    Dans la famille film choral, voici le petit dernier et l’on ne peut pas dire qu’il nous fera oublier ses prédécesseurs. Comme souvent dans ce genre de film, on retrouve un casting plutôt prestigieux donnant ici la chance à des comédiens comme Gilles Lellouche ou Mélanie Doutey mais le tout manque de liant et de rythme. On s’ennuie devant toutes ces histoires d’amour surtout pour moi qui suis célibataire ! Finalement, Ma place au soleil a déjà été prise et je n’aurais eu droit qu’à une petite place à l’ombre.

     

    Il faut le voir pour : Se demander si on ne s’est pas trompé de salle.

  • Ne le dis à personne

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    Rien n’y fait, cela fait aujourd’hui 8 ans qu’Alexandre Beck (François Cluzet) a vécu un véritable drame qui continue à le hanter. Sa femme et pote d’enfance Margot (Marie-Josée Croze) fut la victime d’un serial killer, du moins c’est ce que tout le monde croit car la vérité est tout autre. Alexandre va l’apprendre suite à un mail mystérieux. Et si Margot était encore vivante ? Qui fut donc incinérée à sa place ? Autant d’interrogations auxquelles il va devoir trouver des réponses.

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    C’est un film que je tenais à voir car la bande-annonce était prometteuse et à la réalisation on retrouve un certain Guillaume Canet qu’on a plutôt l’habitude de voir devant les caméras. Ne le dis à personne, c’est un thriller passionnant et rythmé bien que je l’ai trouvé un peu long avec une farandole de prestigieux comédiens. Mention spéciale à François Cluzet dont la prestation est remarquable dans la peau de cet homme complètement désorienté et ça vous pouvez le dire à tout le monde.